Dans les geôles de Verasis

Azzinar se réveillât tant bien que mal et pris conscience de sa situation peu intéressante. Il regarda autour de lui pour remarquer qu'il était dans une pièce fermée et complètement blanche et vide. La lumière du plafond lui brûlait encore les yeux.

Le protoss remarqua aussi qu'il ne sentait plus ces bras...Il devait être encore engourdi par les drogues de ceux qui l'avait capturer. On l'avait même attaché au mur. Qulequ'un semblait le considérer comme une menace apparament. Mais qui était dont ces mystérieux militaires?

-Je dois trouver qu'est-ce que ces gens me veulent et pourquoi je suis ici...mais je doit premièrement reprendre des forces.

Azzinar tenta alors de réfléchir à ce qu'il allait faire.

Il était piégé, piégé comme un animal. Sentiment dure à enduré dans lequel bien de ses "patients" ou "collègues de travail" c'étaient retrouver mais c'était le prix à enduré pour venir passé un petit coucou au chef de la confédération.
Pourquoi? Simz ne le savait point.
Comment allait-il s'en aller? C'était le plaisir d'être arrivé jusqu'ici, une éternelle question à chaque fois et de loin la plus pertinente.
Toutefois il avait à faire avant d'en arrivé là et ainsi comment-ça t-il à scruter les alentours, puisque son haut-placé de tortionnaire n'était toujours pas là.
À sa droite, Psychoghost qui était sur le point de grugé les murs de plasma pour se laisser sortir.
À sa gauche, un mur qui laissait deviner que la personne de l'autre côté ne pouvait pas le voir.

"-Mince si sa continu ils vont le déséché comme une carotte vapeur." pensa-t-il tout haut plus pour lui-même que pour les gens alentours.

Il attendait patiemment tout en fumant une cigarette de plus, assis au fond sa cage, dos au mur, lorsqu'il entendit une voix familière qu'il attendait tant.

"Ah bah, là doc, vous vous surpassez! Super plan quand même! Pris dans cette puTIN DE PRISON!"

Psycho paniquait et rageait seulement à la pensée d'être aux mains de confédérés. Il marchait dans tout les sens et donnait des coups de poings, de pieds et meme parfois de têtes en espérant de faire trembler le champ de force. Après cinq minutes, il se calma et alla s'asseoir dos au mur à la droite du Docteur.

"Il doit avoir un plan, pensa-t-il, sinon, ça servirait à rien d'être ici, hein?"

Il regarda Hell. Il était calme, ne bronchait à peine et fumait une cigarette.

"C'est la première fois depuis mon début de ghost que j'aurais fumer une cigarette, si c'était pas de mon masque, pensa-t-il en enviant le calme de son complice."

Soudain, une voix vint de l'extérieur de la cellule

- Nous y voici Monsieur Karlson. C'est ici notre centre de détention de nos plus notoires et dangereux criminels. Nous retenons aussi des spécimens extraterrestres capturés dans certaines cellules. En tout cas, c'est pour le docteur Simzz que nous sommes ici, attendez...

Quelques pas plus tard, Psychoghost, puis ensuite Simzz aperçurent le visage de Bryan Veers accompagné de Jim Karlson. Bryan se présenta:

- Ah c'est vous le médecin tant recherché de tout le système. Voyant votre tenue, je pourrai dire que vous avez un emploi du temps très occupé pour vous négliger ainsi.

Veers entra en contact avec un employé via un système de communication:

- Envoyez moi une tenue de médecin pour la cellule E-45. Vérifiez qu'il n'y a aucun instrument dedans.

Ensuite, il revint a Simzz:

- Bon, qu'est ce qui vous amène ici Doc?

Hell jetta d'abord un coup d'oeil à psycho et ensuite à Veers avec son sourire cette fois fade. Mi-épuisé mi-désintéressé, il le regardait de haut intervenant avec toute hiérarchie.

"-Bonjour mon petit Veers!" dit-il sur un ton hautain mais enjoué, glacial mais joviale. "Dite-donc on me parle comme à un pure étranger alors quoi? On se souvient pas du bon vieux Simz? Je suis sure que j'ai passé à deux doigts de vous opéré les amygdales dailleur. Un peu de respect mon cher."

Voyant que le commandant semblait s'impatienter, ce qui l'amusait fortement, et que les gardes commençaient à se pomper, le docteur décida d'en venir aux faits.

"Bon bon bon... restons sérieux un instant" dit-il en écrasant sa cigarette tout en se redressant, jambes croisées "Je suis venu ici simplement pour deux choses. Tout d'abord la première:J'ai eu la rage de me rendre compte que vous postiez un peu trop de vos petts chiens fidèles sur Braxis, ça rend le vol d'organes étrangés un peu plus...chiant. M'empêchant de crier sur tout les toits que je cherche de la main d'oeuvre.
Oh soyez sans crainte, je n'en ai toucher aucun...bon peut-être bien 2 mais sans plus. Par contre je ne suis pas le seul a ne pas apprécié, j'ai croisé 1 cadavre sur mon chemin et, le pauvre, avec cette balle dans la tête je lui diagnose un long sommeil irrécupérable."

Il éclata d'un grand rire dont il avait l'habitude, si perçant que des ongles sur un tableau noir aurait été préférable.

"-Ensuite deuxième point, j'ai cru voir sur ma route, bien sure beaucoup, que ces belles petites bêtes sauvages commencent à voyager. Les belles petites saletés savent s'y prendre avec les voyages dans l'univers, il faut dire que Tarsonis doit commencé à être sur-peuplé si vous voyez ce que je veux dire, c'est la saison des amours après tout.
Je ne veux pas vous affoler mais je dirais Braxis selon la trajectoire. Bizarre comment une planète si peu importante commence à devenir le centre de l'univers."

Le médecin s'alluma une seconde cigarette, pris une grande bouffée, avant de fixer Bryan droit dans les yeux.

"Autre questions, votre honneur?"

"J'en aurais bien une, moi, de question!" coupa Jim bien sec. "Mon vaisseau, ordure."

Le confédéré s'impatientait de seconde en seconde à la pensée de son vaisseau qu'il ne pensait pas revoir de si tôt puisque le fou ne voudrait sans doute pas se débarrasser d'une si grande perle précieuse.
Dégoûter de devoir s'adressé à ce malade, Jim se tourna de réflexe vers Bryan.

"On peut toujours patrouiller les alentours, tant et aussi longtemps que l'on garde ce malade en dedans l'équipage qui n'a que lui comme chef n'aurait que faire d'aller ailleurs! Ou NON encore mieux, laisse-moi 10 minutes seul avec cette saleté et je saurai lui faire cracher le morceaux!" s'enfla-t-il, en s'adressant de rage à Bryan Veers, oubliant toute hiérarchie.

Il était pret à ouvrir cette cage de force et d'aller égorger cet idiot lui-même.

Psycho se leva finalement, et soudainement, d'un bond aux paroles du confédéré qui se tenait à la gauche du commandant Veers. Il s'appuya les coudes sur le mur d'énergie, les mains derrière la tête.

"-Aaaah! C'est donc à toi le super vaisseau, siffla-t-il. Je savais que le doc. était pro question création de plan mais peut-être pas de là à créer un vaisseau lui-même, il fallait bien qu'il l'aie volé à quelqu'un d'assez naïf pour laisser ce super bijou sans aucune défense. Je dois avouer que c'est d'un chic! Vous devriez voir ce que votre salle d'ingénirie me donne comme idée pour innover de nouvelles créations et denouveaux prototypes, dit-il, rêveur et presque en jubilation. C'est bien dommage que vous n'aviez pas les clefs, j'aurais pu vous faire visiter notre nouveau vaisseau."

Il se pencha plus près du mur en fixant l'homme par les lumières de son casque:"Ce doit être désastreux de perdre son équipage ET son moyen de transport, en même temps, par la même personne, dit-il sur un ton sombre. J'espère que vous gérez bien ça, monsieur."

SimZz s'amusait à la réponse de Psycho.

"-Il a pas tort, et tu sais bien que la dernière fois qu'une torture a marchés sur moi c'est que ça commençait à être long et chiant, surtout que l'info était d'une utilités totalement moindre."

Il se releva et s'avança vers les murs électrique en fixant désormais Brian dans les yeux.

"-Alors, que compte-tu faire de ce petit cas d'insectes à réglé? Et pour une fois je ne fais pas référence à ceux qui te serve mais bien à ces jolies bestioles."

Il attendait la réponse de Brian avec un peu de curiositée, que pourrait bien penser cette petite marionnette de la confédération?

Bryan réfléchissait, «des zergs....dans le secteur....détectés par ce fou furieux et pas par nos radars. Il faut vérifier ça au plus vite». Il décida d'envoyer quelqu'un voir au plus vite:

- Jim, je sais que l'idée de faire un interrogatoire musclé à Simzz vous semble très attrayante, mais il faut changer nos priorités. Votre vaisseau est en ''sécurité'' pour le moment et on sait qu'il n'est pas détruit avec son équipage. Je vous le demande Monsieur Karlson et veuillez accepter: retournez au centre des communications et fouillez tout le secteur confédéré et peut-être un petit peu plus loin. Il faut nous assurer de la véracité des allégations de Simzz, c'est un fou qui ne ment pas tant que ca selon ce que j'Ai lu sur son profil psychologique.

Veers regarda par terre et soupira:

- Au sujet de notre conversation qui a été faite à mon bureau, j'enverrai peut-être une autre personne ou vous plus tard. Disons que ce dossier tombe en seconde priorité pour le moment. Pour vous Simzz, je vais encore vous garder en captivité. Si vos informations sur les zergs sont vraies et que vous ''sauvez'' des vies grâce à ça, je vais surement alléger votre peine.

L'appareil du Commandant Suprême attira son attention et il répondit durant que les autres personnes continuaient la discution.

"-Allégé ma peine? ALLÉGÉ MA PEINE?" SimZz éclata de son habituel rire sadique tout en se tenant les côtes, son rire se prolongeant tellement que même le protoss devait l'avoir entendu (ou en tout cas un détenu paranoïaque qu'on entendit gueuler "Oh mais ta gueule!!!" du fond de la prison.

"Tu tien vraiment à te faire botter le cul de ton poste, petit Veers. Si tu te permet d'allégé ma peine, le peuple va brandir des fourches et des torches en scandant de me mettre sur le bûcher." dit-il en s'essuyant une larme du coin de l'oeil.


Hell regarda partir Jim qui devait "malheureusement" suivre les ordres.

"Alors cet appel, il te faut partir? Moi qui rêvait de jouer au médecin avec toi!"

Bryan n'écoutait pas vraiment Simzz, ayant le focus sur son appel de quelques secondes. Le seul mot-clé qu'il compris du médecin était ''peuple'' et déduit que Simzz parlait d'un potentiel scandale dû à une libération. Il s'arrangea pour être compris:

- Croyez-vous vraiment que je dévoilerais au grand jour que je vous relâcherais dans la nature à nouveau? Ce serais de la pure folie! D'abord, il faudrait que la population sache que vous êtes sous captivité. Les médias ont révélé la capture de terroristes sans nommer leur identité pour éviter de faire des vagues. De plus, c'est pas comme si j'allais vous libérer demain matin aussitôt que j'ai la nouvelle d'une présence extra-terrestre. Si je vous libère un jour, ce sera dans le plus grand secret et vous serez suivi à la trace par toutes les dispositions que j'ai. J'espère avoir été assez précis dans mes explications, parce que j'ai d'autre chats à fouetter.

Veers quitta la pièce.

Le docteur prisonnier regarda partir le membre le plus éminent de cette confédération dont il n'avait rien à foutre. Dommage de le voir partir et qu'est-ce qui attirait plus son attention que le criminel le plus rechercher que jamais. Brian était désormais hors de vue, il avait surement quitté l'établissement.

"-Bon et bien Psycho? Il va falloir partir bient-..."

Le médecin s'était tourner vers le ghost mais encore n'avait-il pas finit sa phrase qu'il porta sa main à ses lèvres avant de vomir du sang et d'être secouer de spasmes. Il tomba raide au sol, commençant à se secouer violemment, les yeux fixant le vide.

Le ghost paniqua encore plus et commença à grimper les murs comme un singe qui panique dans son zoo.

"-Gardes! GARDES!" cria le ghost, pris de névrose alors que son compère était secouer de convulsions toutes plus repoussantes les unes que les autres, en continuant de vomir du sang.

Les deux gardes les plus proches se retournèrent et, voyant l'état du médecin, furent pris de panique. Ils ouvrèrent la cellule et se préparèrent à soulever le médic... avant de tomber raide au sol.
SimZz se releva, du sang dégoulinant de sa bouche comme s'il s'était fait tirer dans la bouche, sourire fier aux lèvres, il retira la carte de sécurité de la ceinture d'un des gardes, tenant dans sa main un scalpel suffisamment petit pour être cacher dieu sait où.


"-Pret à partir, mon ami ghost? Il va d'abord falloir amener cet alien avec nous, il m'intrigue grandement."

Psycho le regardait avec aucun mot pour expliquer sa surprise sauf ceci "Putain, t'es vraiment un maniac". Il sorti de la cellule en trombe et respira un grand coup. "Sa sens bon la liberté, mon ami!" Il fouilla un des gardes pour trouver les cartes de sorties et de cellules. Il les trouvèrent tous dans la poches du chef de quart et se dirigea machinalement vers la cellule voisine pour l'ouvrir. Ne prenant même pas le temps de regarder dedans la cellule avant l'ouverture, le *BIP* de validation se fit entendre et ouvrit la porte. La cellule était d'une blancheur à faire prendre un épileptique une crise qu'il se remettrait pas de si tôt. Ensuite, il aperçu l'alien: un Protoss.

"Oooooh! Le beau protoss, dit-il en se ruant vers lui, l'examinant de gauche à droite. Ça se peut pas, les Protoss ne se promène presque jamais seul, à moins d'être des Templiers Noirs. Hmmm. Serais-tu un petit Templier Noir? Ah non, il serait invisible sinon. Alors... hmm... serais-tu rénégat? ... J'y pense, il est Protoss, il ne doit pas parler notre langue. Hey doc! On peut l'emmener? Et on le laisse attaché ou détaché? Ah on s'en moque, faut que j,examine sa technologie!"

SimZz mit une main sur l'épaule de Psycho.

"-On le détache, bien entendu. Premièrement il doit être drogué de tranquilisant, deuxièmement c'est pas un animal, pas comme un humain, il est capable d'être plus intelligent que le trois quart des idiots qui sont mêmes pas foutus de s'enfuirent de c't'endroit."

Le médic retroussa ses lunettes du bout du majeur et de l'index avant de poursuivre.

"-Je sais pas s'il parle la langue universel mais si il a été amener ici, j'en déduis qu'il devait pas parler le zerg, pour être aussi loin de sa planète natale. Enfin bref, place à la libération!"

Au moment où le ghost libéra le protoss, se dernier resta suspendu un instant avant de s'affalé tel un poulpe tétraplégique.

"-Décidément ils l'ont droguer façon éléphant, va falloir se le traîner un petit moment j'ai l'impression. Dit-moi l'ami, c'est quoi ton p'tit nom? Et me dis pas que tu parle pas la langue universel ou j't'en foutrai moi, ta tête ira sur mon mur si tu me sers à rien!"

Azzinar vit entrer 2 terrans dans sa cellule. Cela devait être 2 de ceux qu'il avait entendu plus tôt. Les 2 spécimens semblaient asser agités, il ne devait dont pas être de ceux qui l'avait capturé puisqu'ils semblaient être en fuite...

Il écouta les terrans et conclut que c'était les spécimens les plus particuliers qu'il avait rencontré jusqu'à présent. Il serait donc nécessaire de les suivre pour les étudier davantage. Azzinar se dit qu'il devait par contre trouver de quoi se défendre. A en juger par le type d'installation dans lequel il se trouvait, il en déduit qu'il ne devait pas être dans endroit peu important...

Par contre, il prit conscience de son état physique lorsqu'il fut détacher par «Sujet 1» que bien que son esprit soit encore affûté, son corps lui ne semblait pas dans le même état.

-Mon nom est Azzinar, Terran, et je suis en effet un templier noir, ou plutôt j'étais... Néanmoins, je vous suis reconnaissant de m'avoir sauvé. Par contre, je ne vous serez pas de grande utilité dans mon état actuel. Si je pouvais retrouvez mes forces je pourrais vous aider à sortir de cette endoit, quel qu'il soit... dit il par la penser au terran en blanc.

Sur ce, le corps flasque du Protoss disparu...il allait devoir attendre un peu avant de pouvoir marcher, mieux vallait attendre incognito, bien que la prison devait surement être équipement de système de détection.

SimZz qui serrait encore le bras du Protoss renforça sa poigne sur celui-ci.

"Oh non mon cher, on part maintenant et tout de suite. Si jamais on attend trop, ils nous captureront, et s'ils nous capturent, je ne donne pas cher de LEUR peau...et de la tienne puisque tu veux jouer les fainéants. Mais bon, j'imagine que ça aide pas d'avoir le corps en compote."

À ces mots le médic commença à s'arracher de la peau de son avant-bras, ce n'était malheureusement pas une fausse couche mais bien une vrai, il commença à fouiller à gauche et à droite comme s'il se cherchait les veines les plus dures à trouvées.

"-Veine...Act! NERF!...veine... Os... ah voilà!"

Tout fier, le médecin retira de son propre bras une petite capsule d'une liquide inconnu du Protoss, il déplia une aiguille de cette étrange seringue avant de la plantée dans le cou (espérait-il) du Protoss de toute ses forces.

"Ah bah voilà! Suffisait de demander! On se sent mieux?"

Psycho le dévisageait du regard et SimZz compris que c'était un tantinet déplacer.

"Je déteste me faire ramolir les jambes, j'ai toujours ce qu'il faut sur moi pour arrêter ce genre d'effet, content?"

Le ghost soupira en guise de réponse.

"Il faudrait peut-être pas trop trainer doc. J'ai un mauvais présentiment à propos de tout ça. S'il faut foutre le camp, on le fait maintenant!"

Il pris l'autre bras du Protoss et aida SimZz à le trainer, en attendant l'effet du soluté. Arrivé à la porte principale, ils ouvrirent la porte avec les cartes, ce qui donna sur un grand couloir avec plein de caméras.

"Eh merde... C'est bondé de caméras. *Il activa sa caméra thermique, qui brouillait beaucoup trop mais réussit quand même à distinguer des chaleurs* Putain! ils ont un brouilleur de gadget électronique dans le coin aussi. Je pourrai pas brouiller ni détruire les caméra. Il me reste une petite grenade EMP mais vaut mieux la garder... Oh, il y a des lasers de détection dans le hall. Seul mon invisibilité pourrait tenir le coup... Des idées?"

Hell n'écoutait déjà plus Psycho alors que son regard se portait sur quelque chose à la totale opposée de leur direction.
Le médic dément eu un sifflement d'admiration.

"-Eh bien mon PEUtit ghost, je crois qu'on va faire un détour par les pièces à convictions et à étudiées, on pourra peut-être tomber sur de quoi d'autre à s'équipper que ce flingue de merde que je viens de chopper à notre ex-gardien de cellule! T'en dis quoi l'protoss? Ils t'ont surement piquer quelques trucs super intéressants! Non?"

Le médecin s'en lichait les babines d'avance de savoir ce qu'ils y trouveraient. En plus que le protoss était rétabli, ça pourrait être utile pour changer les idées des guardes.

Azzinar était conscient que sortir d'ici ne serait pas facile, ces pouvoirs psyonniques pouvait être utile mais ne pouvais les faire passé inaperçus, bien qu'il avait crû comprendre que ce n'était pas le style du «Sujet 1».

-En effet, ils serait intéressant d’être mieux équipé, surtout s'il on veut sortir d'ici en un morceau...

Le protoss se délaissa des deux terrans et se redressa par lui-même. Il se sentait revigoré par la « Solution 1» du
«Sujet 1». Azzinar avait très hâte de remettre la main sur son épée psyonnique et aussi sur n'importe quelle arme humaine intéressante.

Lorsqu'ils entrèrent dans le labo, ils semblait qu'il avait été évacué

-Notre tâche n'en sera que plus facile alors. dit le protoss

Azzinar mit la main sur son épée et regarda autour de la pièce pour localiser quelques choses intéressantes.

Il vit alors un modèle à l'éssai d'un lance-flamme portable Perdition qui serait surement en service bientôt dans la confédération.

-AH Voila quelque chose qui m’intéresse! Je vais pouvoir tester les armes des terrans moi même. Et vous 2 , vous avez trouvé quelque chose?

Psycho trouva sa manière de trouver leur équipement peut... discrète... mais elle marchait très bien. Ils entrèrent dans le labo le plus proche et trouvèrent de l'équipement.

-Aaah, mon super pad! Mon si beau bouclier prototype! Mon magnifique sniper! *Il serra son sniper contre lui très fort* Oh! Cette solitude sans toi. Maintenant, j'ai pu à avoir peur. qu'ils viennent en troupes de 50, je les attend!.

Il tapota son pad et fit des mouvements flou sur celui-ci.

-Test. Nikita, active toi sinon c'est la ferraille!

-Nikita activée.

-Ah, ça marche encore, parfait.

Le doc le regarda d'un air bizarre.

-Ne vous inquiétez pas, monsieur. J'ai été conçue pour toujours rester près de Mr. Lawson quoiqu'il arrive. Or, je peux me dupliquer à sa demande.

-Ouais, comme elle dit.

Le médic regarda d'abord son compagnong ghost avec de grands yeux avant de tourner les yeux en rond façon "ça y est, ça recommence" et de prendre une moue désintéressée digne d'un gamin de 2 ans en farfouillant dans tout les tiroirs possibles.

"-Mon bazzoka, oh et puis merde il restera ici... Grenades, j'ai... Bombes artisanales, j'ai... cigarettes, dohoho pas les miennes mais je vais me gêner tiens! Tout mes coûteaux! Oh quel bonheur mes petits chéris!" dit-il en serrant très fort l'amas de scalpels et d'objets tranchants en tout genres, non sans se transpercé à quelques endroits diverses, notamment la tête et la joue.

Il continuait de farfouiller un peu lorsqu'il tomba finalement sur quelque chose d'intéressant qu'il balança au protoss.

"Tiens mets ça... on dirait une robe de clodo avec capuche avec les habits qu'il faut. C'est un habit de ghost vieux modèle, ça va te permettre de te couvrir un peu plus tiens."

À ces mots il se mit à jongler avec trois grenades artisanales en regardant ses deux compères.

"Messieur, si vous n'avez plus besoin de quoi que ce soit, c'est l'heure de partir!"

"Mhmm... Ouais ouais, comme tu dis"

Il N'avait même pas fini de ramasser son équipement qu'il avait mis la main sur des produits chimiques. Il examinait toute les fioles et ramassait celles qu'il "ne faillait PAS mélanger" pour les mettres dans un sac en tissu. Il venait de se créer une sorte de bombe à impact ... ou une bombes corrosive... ou une bombe à gaz mortel... ou les trois. Il ne savait pas trop ce que tout ces solutés allaient produire tous ensemble, mais il savait que ça allait être dévastateur. Il le pris un peu doucement et l'accrocha à son épaule.

"Bon, on va pas rester ici toute la nuit, merde! On y va? J'me sentirais mieux hors de cette prison, honnêtement. *Il regarde le doc, toujours aussi calme et bizarre. Il avait l'air prêt.* Alors, notre alien préféré, t'es prêt?"

"Pas l'temps d'lui demander. Toi le globuleux, tu t'amène si tu veux vivre. Psycho, prépare les grenades, on va passer de force et atteindre la sortie le plus rapidement possible. Si y'as des gardes, à vous l'honneur messieurs, je passerai par une autre porte on se retrouve à la sortie."

Sur ce, le docteur partit dans sa propre direction laissant le Templier et le ghost derrière lui.

[HRP]Vous continuez toujours les tits namis?

[HRP: Mais toujour, mon cher. Était en attente d'une réponse.]

Il le regarda partir. Il commençait à être habitué à ses plans dont personne ne savait l'existence ni le but. Psycho regarda les environs. Un couloir à 2 sorties plus un autre à une sorties. Il n'aimait pas, mais pris le couloir à une sortie. Cette sortie mena à une salle de test où était posté un garde.

"HEY! LES PRISONIERS S'ÉCHAPPENT! *active sa radio* MONSIEUR, ILS S'É-"

*BANG*

Un tir bruyant et sourd tua l'homme sur le coup. Une blindée à travers le casque. Il aurait dû emmener ses munitions anti-personnel.

"Et merde, maintenant ça va grouiller de grandes fourmies."

La porte menait à un ascenseur. Il ne perdit pas de temps et entra. Pendant qu'il cherchait l'étage sur lequel appuyer, l'ascenseur se ferma et commença sa monté.

"Merde merde MERDE! Tu es en train de me dire que leur caserne est au-dessus de moi?! C'est quoi cette emplacement de chiotte!... Quoique pour eux, c'est bien pensé."

Les chiffres défilaient en flèche. Tout à coup l'idée du siècle. La porte arrive à l'étage.

-Mode Camo enclenché.

La porte s'ouvre et les marines se lancent tous dedans. Quatre en tout. Psycho saute en dehors lorsque le quatrième entre. La porte se referme. Il regarde autour. Ce n'était pas la caserne mais plutôt les gardes qui surveillaient ce couloir.

"Ouf... Un peu plus et ça y était. Mais pourquoi quatre garde pour un couloir..."

Une alarme se fait entendre et des lumières rouges sortent des plafonds. Certaines plaques dans les couloirs bougent.

"Ah super, mes guardiens deviennent mes pourchasseurs... Longeons les murs dooouuuuceeeeemeeeent."